[et_pb_section fb_built= »1″ admin_label= »section » _builder_version= »4.4.8″ _dynamic_attributes= »link_option_url » link_option_url= »@ET-DC@eyJkeW5hbWljIjp0cnVlLCJjb250ZW50IjoicG9zdF9saW5rX3VybF9hdHRhY2htZW50Iiwic2V0dGluZ3MiOnsicG9zdF9pZCI6IjE2NDQifX0=@ »][et_pb_row admin_label= »row » _builder_version= »3.25″ background_size= »initial » background_position= »top_left » background_repeat= »repeat »][et_pb_column type= »4_4″ _builder_version= »3.25″ custom_padding= »||| » custom_padding__hover= »||| »][et_pb_text admin_label= »Text » _builder_version= »4.4.8″ _dynamic_attributes= »link_option_url » background_size= »initial » background_position= »top_left » background_repeat= »repeat » link_option_url= »@ET-DC@eyJkeW5hbWljIjp0cnVlLCJjb250ZW50IjoicG9zdF9saW5rX3VybF9hdHRhY2htZW50Iiwic2V0dGluZ3MiOnsicG9zdF9pZCI6IjE2MDMifX0=@ » hover_enabled= »0″] Pendant les années Kabila, la banalisation de la violence s’est développée en totale impunité, et les commanditaires des assassinats des 10 journalistes tués sous sa présidence n’ont jamais été traduits en justice. La liberté d’informer était également malmenée en ligne, où internet était régulièrement coupé et où les réseaux sociaux étaient bloqués, comme ce fut le cas lors de la dernière élection présidentielle. Bien qu’elles aient connu…